Développement personnel : être en relation en tournant le regard vers soi

La Maladie

Notre corps physique nous parle à travers nos malaises et maladies toujours afin de nous rappeler l’importance de nous aimer, de nous accepter. La maladie est un manque d’amour pour nous-mêmes. Elle est liée à la blessure de rejet et d’injustice. Cette souffrance est issue du manque d’amour et du rejet de soi, qui nous sont également reflétés quand nous nous sentons rejetés par les autres. Ces personnes souffrantes  peuvent être perçues comme étant « froides ». Elles cachent leur grande sensibilité, celle-ci est  refoulée au plus profond d’elles-mêmes, ces personnes ne savent pas comment la gérer. Elles croient que le fait de ne pas sentir leur permet de moins souffrir, alors que la souffrance devient encore plus forte.

Ses blessures sont éveillées par le parent du même sexe.

La maladie ne se développe que lorsqu’une personne ne veut pas ou ne peut pas être consciente de sa haine. Elle l’occulte, la nie et vit toute sa douleur dans l’isolement. La maladie nous informe qu’il est impératif de devenir conscient d’en avoir voulu à notre parent du même sexe et qu’il est grand temps de s’aimer au lieu de se rejeter. La personne qui est dans sa blessure d’injustice est convaincue que ce n’est pas bien de haïr, d’en vouloir à son parent du même sexe, ce qui renforce son déni et son inconscience. C’est bien ce que veut nous faire croire notre ego, il est rusé celui-là ! Il veut nous maintenir dans cette croyance. Mais les autres sont là dans notre vie pour nous aider à devenir conscient de ce que nous n’acceptons pas chez soi.

Les personnes avec les blessures d’injustice ou de rejet se sont coupées de leur senti pour ne pas souffrir.

Les personnes rigides souffrant d’injustice se croient imparfaites quand elles sont malades et auront beaucoup de difficulté à l’avouer, même si elles en sont conscientes. Si elles se soignent, c’est en cachette. Elles se vantent même à qui veut l’entendre de ne JAMAIS prendre de médicaments et de ne JAMAIS aller chez le médecin. Les personnes fuyantes souffrant de rejet nient être malades. Les autres peuvent s’en apercevoir, mais elles prétendent que tout va bien. D’ailleurs, elles parlent rarement de ce qu’elles vivent personnellement.

Ecoutons les signaux de notre corps, et posons nous la question : comment je me sens ?

Quand nous obtenons nos réponses, donnons nous le droit d’être humain et d’avoir des faiblesses. S’accepter, s’aimer, c’est accepter les comportements  avec lesquels nous ne sommes pas d’accord. Plus nous nous aimons et plus nous sommes conscients des signaux de notre corps et plus nous avons de chance de ne pas développer de grave maladie comme le cancer. Les personnes qui nient complètement leur douleur due à leur manque d’amour sont les plus propices à avoir cette maladie. Alors chaque seconde, demandons nous comment nous nous sentons ? Et donnons nous le droit de nous sentir avec tous les « êtres négatifs » de la terre. Car ne l’oublions pas pour nous être fort, nous avons besoin de nous accepter à certains moments d’être  faibles…

Quelqu’un de FORT tout le temps à chaque instant, mais ça n’existe pas !!!!!!!!

La personne fait alors du déni, et faire du déni c’est une façon de se montrer fort tout le temps pour ne pas toucher à sa vulnérabilité. Mais être humain c’est avoir des forces et des faiblesses, ne l’oublions pas !

 

Douce acceptation ! Nathalie ♥

 

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